volet n°55
Raymonde
Verney
France
Le 31 août 2000
J'espère
que cette poésie vous plaira et qu'elle soit la continuité
de
cette chaine d'amitié
Et si la vie ...
Et
si...
Et si la vie me projetait dans l'antre des soupirs d'amour
Désemparée je lutterais en vain
J'abdiquerais ma vétusté pour toujours
Sur le banc des pénitents je prierais tous les saints
Et si nos mains se souvenaient encore
De nos promesses balbutiées en choeur
De nos soupirs échevelés caressant l'aurore
De nos yeux retardant l'insouciance de l'heure
Et si tu m'emportais dans tes rêves tourmentés
Là où les reines épousent des manants
Là où les rois lisent des vers aux pauvres délaissés
Là où la terre touche l'ombre des océans...
Raymonde
Verney
France
Jeudi 31 août 2000
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