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Gouttes de lune, de tes yeux, coulaient,
Gouttes de lune, doucement sur tes joues, glissaient,
Rien n'aurait pu les arrêter,
Cela faisait si longtemps que tu les retenais.
Gouttes de lune, tes joues caressaient,
En milliers d'étoiles irisées,
Lentement te transformaient,
Rien n'aurait pu les arrêter,
Cela faisait si longtemps que tu attendais.
Gouttes de lune,
Délicatement sur mon épaule, se posaient,
Serrée contre moi,
Tu mourrais cet Amour-là !
Rien n'aurait pu t'arrêter,
Cela faisait si longtemps que tu n'étais pas
Toi.
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